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Proesentis superficies




Proesentis superficies

Vues du travail in situ et de l'installation en galerie.
Travaux de "fouilles de surface" entreprises sur la Place de l'Aigle à Brumath (F) dans le cadre de "jardins, lieux de mémoire". Galerie de l'escalier - Brumath. Le territoire de ces fouilles est reconstirué peu à peu dans les locaux de L'Escalier. En collaboration avec le collectif "Le Bernard L'Hermite, atelier de l'évidence".

Le groupe BLH, Atelier de l'évidence, pour l'action "Proesentis superficies" se compose de Carole Abelé, Claudie Caspar, Benoît Decque, Filou, Didier Montmasson, Véronique Moser, Marie Saurat.


PROESENTIS SUPERFICIES
Archéologie de surface.

[…] un réel intéret pour ce qui tout touche aux recherches assidues dans le suivi des réseaux devient un risque chez Carole ABELE. Vrais arpenteurs d’asphaltes, dans le plus grand hasard subjectif, ils testent la dernière strate qu’ils étudient avec la précision des techniciens de surfaces. Les vues de Claudie CASPAR sur le site, ses études sur le grand désordre font de son approche des ailleurs suscités: fragments de réalités. Benoît DECQUE, dans un texte très complet et parfois difficile,De l’étude du réseau viaire et des franchissementsnous montre une vraie Histoire Instantanée où sont fixées avec précision les coordonnées: x= 4.28, y= 12.34 de ce bel ensemble de formes et de couleurs. C’est Olivier LAURENT dans:De la hauteur de la bordure de trottoir” (essai) qui prouve que, tous attentifs aux signes du présent ces sept chercheurs, passionnés iront jusqu’au bout de leurs investigations.[…] Didier MONTMASSON nous le dit “pas assez”, “entropique”. Il porte un vif intérêt à ce qu’il nomme la longueur du tracé, périmètre d’intervention et réclame un sauvetage urgent de cet équilibre. C’est ce qu’explicite, avec passion, Véronique MOSER dans:De la profondeur du caniveau…rapportée à celle du Mississipi”. Elle fait du rapport Section / Parcelle un réel tronçon aléatoire qui s’inscrit avec finesse dans les micro-paysages vus par Marie SAURAT. Tout dans cette approche complexe devient une dérive cadastrale, exacerbée par la pratique dite du préleveur à l’adhésif.[…] C’est bien la raison de l’urgence qui nait de toutes ces traces relevées par le collectif. BERNARD L’HERMITE - atelier de l’évidence.

Extrait de: PROESENTIS SUPERFICIES: Fouiller la surface. Avril 1999.



"Jardins, lieux de mémoire"
"jardins, lieux de m�moir
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